Nous savons tous que la politique se sert avant tous des médias pour évoluer et vivre dans la société. Ceux-là permettent de donner leurs avis et participer à de nombreux débats. Ainsi, chaque homme politique peut se dégager et ainsi marquer la société donc l'opinion publique. 

Prenons par un exemple les présidentielles. L'Etat doit contrôler tout au long des élections les relations entre hommes politiques et médias. En effet, le CSA (Conseil Supérieur de l'Audioviseul) surveille l'opinion publique, les sondages, les médias vis-à-vis des candidats à l'élection. Son but principal étant de garantir le pluralisme politique et syndicale sur les antennes en programmant les rencontres radiotélévisées par exemple.

Lors des élections présidentielles de 2007, le CSA a divisé en quatres les candidats. On décida que :

- 40% du temps d'antenne seraientt aux partis de l'UMP (Union pour un Mouvement Populaire) et du PS (Parti Socialiste)

- 30% du temps d'antenne seront attrivués à l'UDF (Union pour la Démocratie Française) et le FN (Front National)

- 25% du temps d'antennes seront divisés aux "petits candidats" le PCF (Parti Comunistre Français), le LCR (la Ligue Communiste Révolutionnaire) et Nicolas Hulot notamment.

- Les 5% restant seront partagés par les candidats restants.

Le parti écologiste est un exemple parfait, il est très connu et populaire malgé seulement 14 869 adhérents en 2011. 

⇒On constate donc que les médias sont un intermédiaire entre le peuple et le gouvernement. Les partis poliques, eux, s'appuient sur les médias pour avancer, mais rappelons que ceux-là représentent principalement la liberté d'expression. Ainsi, nous allons voir en quoi les médias peuvent aussi être un carctéristique influant sur l'opinion publique. 

Les sondages ont un rôle majeur entre l'homme politique et les médias, ils définissent tout "le jeu". Voyons comment ceux-là apparaissent ? 

En 2002, lors de l'élection présidentielle, les sondages ont montré que les candidats au second tour seraient Jacques Chirac et Lionel Jospin de manière quasi-certaine. Par conséquent, ce fait paraissait acquis pour tout le monde et ceux qui comptaient voter Jospin au premier tour se sont qu'il n'y avit aucun risque à voter pour de petits partis de gauche ua premier tour. 

Ceci à profiter à Jean Marie Lepen qui s'est retrouvé au second tour.